Les meilleurs films de 2022

Cet article fait partie de notre 2022 Rewind . Suivez en explorant les meilleurs et les plus intéressants films, spectacles, performances et plus de cette année très étrange. Dans cette entrée, Charlie Brigden explore les meilleurs scores de 2022.

Douce. C’est ainsi que je résumerais cette liste cette année. C’est l’une des meilleures années pour la musique cinématographique dans une longue période, avec de nombreuses chansons des anciens et des nouveaux gardes. Il y a une variété de genres, aussi, l’horreur habituelle et la sci-fi, mais aussi plusieurs pièces dramatiques, comédie, mystère, et même un super-héros.

Mais au-delà, la qualité de la musique correspond presque à la quantité. Mais assez de cirage, voici…

Ils disent que vous ne pariez pas contre James Cameron , mais même il aurait été inquiet après avoir perdu collaborateur James Horner , qui est malheureusement décédé en 2015. Horner a apporté un sens supplémentaire de merveille et de magie à la première image, mais c’est une bonne nouvelle que son successeur pourrait aussi faire cela. Simon Franglen travaillé avec Horner pendant des années, en collaboration avec le compositeur sur le premier Avatar et production Titanic megahit “Mon coeur va continuer”, et son score majestueux pour Le chemin de l ’ eau Peut-être même pas La musique de Horner pour le monde de Pandora.

Titanic est un mot pour décrire le score, mais il se déplace sans effort de cette échelle épique à minuscule et intime, tout le temps tout en sonnant absolument magnifique. Franglen s’appuie sur les thèmes originaux de Horner, mais présente également ses propres beaux et envoûtants motifs qui incarnent son propre travail. Un succès contre les chances qui nous donne l’esprit de Horner et Franglen à leur plus pur.

Brian et Charles est une de ces merveilles qui ne semblent venir que de la Grande-Bretagne. Situé dans les pays de Galles les plus profonds, c’est une tragédie à propos d’un gars solitaire nommé Brian qui s’apprête à construire un robot appelé Charles Petrescu. Circuit court ce n’est pas, et c’est une histoire bizarre avec un score encore plus bizarre par le toujours présent et inventif Daniel Pemberton ( The Man From U.N.C.L.E., Steve Jobs ).

La musique de Pemberton est à jamais charmante, avec un son électronique de lancement qui est toujours approprié pour l’ami de Brian DIY. Un sentiment de rêve est fait dans le score qui lui donne un air d’innocence, et tandis que Pemberton pourrait facilement jouer pour rire, il traite la relation de Brian et Charles avec respect. Une merveilleuse respiration d’air frais.

The Woman King est un cercle complet pour Terence Blanchard , ayant marqué le réalisateur Gina Prince-Bythewood Début Love & Basketball en 2000. Elle a eu de la chance de l’avoir sur elle conte épique de femmes guerriers dans la vieille Afrique de l’Ouest, comme il apporte un beau bord spirituel au film, en particulier avec l’utilisation élargie du refrain. Blanchard apporte également les mélodies émouvantes que nous sommes habitués de ses scores pour les réalisateurs comme Spike Lee , et c’est un sentiment si merveilleux et effusif.

Blanchard a utilisé le traditionnel avec Royal Scottish National Orchestra et intégré avec un ensemble vocal Vox Noire , y compris l’artiste ghanéen-américain Tesia Kwarteng , et avec le chanteur de jazz Dianne Reeves en tant que soliste. La puissance de Blanchard réunissant ces voix et ces talents est immédiatement apparente dans le score, qui est à la fois robuste et tendre, et c’est une belle chose à vivre. Kingly.

À dire Adaptation de Andrew Dominik of Joyce Carol Oates roman Blonde est controversé est de le mettre doucement, vraiment. Cela dit, une chose que Dominik a bien fait était d’amener Nick Cave et Warren Ellis , qui avait marqué son film de 2007 L’Assassinat de Jesse James par le Coward Robert Ford . Le score de Cave et Ellis est magnifique et dissonant, avec un paysage sonore déformé mais séduisant plein de textures ambiantes. Dans certains endroits, on dirait Vangelis ’ Blade Runner ; dans d’autres, la fin Angelo Badalamenti ’s work for David Lynch .

Il y a sans aucun doute une poignante à cela, en partie de l’expérience de Cave avec la tragédie. Un des titres est un instrument de la chanson ‘Bright Horses’ de l’album de Cave Ghosteen , qui a été écrit après le décès de son fils Arthur, et c’est un défi, mais belle écoute. Cave et Ellis ont créé un score d’inspiration, qui peut même être mieux détaché du film. C’est un voyage, c’est sûr.

Rian Johnson les films précédents, comme Looper , compositeur établi Nathan Johnson (oui, lié, ils sont cousins) comme un talent à regarder, mais le Knives Out Les films ont vu son meilleur travail extrapolé de lui. Ce qui est immédiatement apparent de la première écoute de la Onction de verre Le thème principal est juste comme clinquant il est et comment snakily il serpente autour, parfait pour les allers cachés sur toute la photo. Mais Johnson permet également à un orchestre complet d’emballer des procédures, donnant un grand avantage aux choses.

Son thème Janelle Monae ‘s Andi représente parfaitement la dualité dans son rôle, à la fois le mystère inhérent à sa personnalité et à ses actions et l’hésitance, le sens que sous l’extérieur classe, il y a autre chose qui se passe. Cette écriture enveloppe magnifiquement la partition, ses personnages et leurs diverses transgressions. Johnson équilibre la ligne exacte entre la gravité et l’auto-parodie que son cousin fait avec la direction du film, en tirant tout avec l’aplomb. Même Benoit Blanc ne trouvera pas de faute avec cette performance.

Une des nombreuses grandes choses Jordan Peele a fait avec ses images d’horreur introduit le monde à Michael Abels , qui a fait un travail fantastique avec son dernier film, Non. . Avec son méta-histoire sur Hollywood, le spectacle et les occidentaux, Abels a créé une tapisserie de cônes qui habitent parfaitement ces espaces. Il a fait attention, et son score semble se tenir sur les épaules des géants avant de nous montrer que c’est sa propre chose.

Non. est à la fois exaltant et effrayant, avec un sens sous-jacent de la peur qui rivalise avec les scores John Carpenter . C’est aussi génial quand il est en pleine parodie, avec Abels écrivant de la musique occidentale qu’il aurait pu venir de la batte de deux des grands du genre: Elmer Bernstein et Ennio Morricone . Mais le toucher d’Abels est ce qui se démarque, surtout dans sa musique d’action passionnante.

Clint Mansell toppé la liste de l’année dernière avec un score effrayant, et il est de retour cette année avec un autre effort formidable pour Charlotte Colbert “l’horreur psychologique d’une vieille sorcière” terre brûlante. Le film profite immédiatement de l’aptitude de Mansell à créer un paysage sonore rêvé, et cet endroit hallucinatoire est la maison pour le score. Mansell utilise adéquatement les voix des femmes tout au long, en particulier dans un sens hantantant de ce qui était il y a longtemps, et c’est brillantement efficace.

Un motif vocal spécifique passe par la partition, et c’est à la fois beau et élégant. Il aide également le co-ciné de partitions et se traduit par des pièces spectaculaires qui aident également à effrayer l’enfer de vous. Vous danserez aussi comme un sabbat de sorcières.

Top Gun: Maverick peut-être la plus haute image de l’avion de l’année, mais quand il s’agit d’un dogfight musical, le nom en haut du classement est Chanda Dancy pour son score Dévotion . Ce n’est rien de fantaisiste, juste un score énergique et dynamique qui convient parfaitement J.D. Dillard Dans les années 1950. Au centre est la relation entre les pilotes Jesse Brown ( Jonathan Majors et Tom Hudner Glen Powell ). Dancy souligne cela avec une douceur qui sous-tend un sentiment d’honneur et, bien, de dévotion, et c’est charmant.

Dancy apporte également un sentiment fantastique d’excitation aux scènes d’avions de Corsair volants tout en soulignant le danger inhérent. Mais ce qui brille est l’écriture de caractère et l’effet émotionnel qu’elle apporte. Et c’est la juxtaposition de cela avec les cônes d’action fantastiques qui font Dévotion un vrai gagnant.

Un commentaire courant sur les films du MCU est que la musique est relativement anonyme à travers le tableau, mais vous ne pouvez pas dire cela à propos du Black Panther Des films. Ludwig Göransson gagné une Académie Prix pour son score pour la première installation, et son travail sur Wakanda Forever est même plus ardent et extraordinairement passionné. Bien sûr, à l’interne et à l’extérieur, le film traite des décès Chadwick Boseman et T’Challa, que Göransson intègre avec une compétence exceptionnelle.

Il n’est pas seul, et encore Göransson apporte de nombreux collaborateurs, dont l’artiste sénégalais Baaba Maal et compositeur mexicain Vivir Quintana . Ces collaborations aboutissent à une tapisserie de musique pour se tisser dans le score pour représenter à la fois Wakanda et le royaume de Namor de Talokun et les différences représentées dans chaque contexte culturel. Le score de Göransson est un énorme succès et un exemple brillant de la manière dont il peut être bon quand Marvel l’a bien.

Cliff Martinez et Steven Soderbergh ont travaillé ensemble depuis les débuts du réalisateur avec 1989 Sexe, mensonges et vidéo . Pourtant, vous seriez dur de trouver un score aussi bon tout au long de leur collaboration que Kimi . Le thriller de Soderbergh est Hitchcock à travers une lentille numérique du 21e siècle ; Martinez agit ainsi, avec un petit orchestre qui se révolte obsédéement autour d’un motif mélancolique avec le même sentiment de non-résolution que Bernard Herrmann ♪ Vertige . Le compositeur a parlé de son amour pour Herrmann, donc ce n’est pas une surprise.

Tout cela se traduit par un score superbement tendu et hypnotique. Il est si beau et triste et a un sentiment merveilleux de couleur et d’émotion avec la façon dont il se morphse des instruments traditionnels aux lignes de synthétiseur. Super.

Il y a eu une tonne de récompenses autour Hildur Guðnadóttir ‘s score pour Sarah Polley ‘s drame sur la foi, et ce n’est pas une surprise; c’est brillant. Guðnadóttir est célèbre pour écrire des scores ésotériques, et Women Talking est une prise passionnante sur une pièce dramatique traditionnelle. Il est beaucoup plus accessible que Chernobyl , mais il y a encore un sentiment de bizarrerie, comme le tribalisme rythmique de la percussion.

Cependant, Guðnadóttir est heureux d’infléchir la partition avec des mélodies magnifiques et délicates qui restreignent néanmoins et compréhensiblement le récit musical à un petit cercle intime. Lorsque ce cercle est en danger d’être brisé, elle utilise un ostinato à tranchant qui sonne comme un requin de chasse, une menace résolue avec la musique formant le cercle, cette fois de protection. C’est un score hantantantant et un court à cela, mais en aucun cas moins puissant pour cela.

Il est difficile d’imaginer un meilleur score pour Chinonye Chukwu Le film Till , about la croisade de Mamie Till après le meurtre tragique de son fils, Emmett , Abel Korzeniowski C’est un superbe travail. C’est un score d’espoir et de détermination, et Korzeniowski lui donne un sens essentiel du lyrisme, en mettant l’accent sur sa propre force émotionnelle. Il serait trop facile de transformer cela en un score effacé avec des éléments d’horreur.

C’est un score étonnamment varié; il y a de beaux scherzos mais aussi des moments de grand lamentation – il y a un morceau qui est magnifique à la fois dans sa magnificence et sa tristesse. Mais ça garde toujours espoir. Le résultat est un travail tout simplement incroyable.

Il y a une belle fragilité Aska Matsumiya ‘s score pour Kogonada ♪ science fiction drame . C’est presque comme une représentation numérique du web d’une araignée; les lignes électroniques mélodiques minces se sentent comme elles pourraient se briser à n’importe quelle seconde, mais sont les plus solides de matériaux, qui sont là pour garder la famille ensemble. Cette compréhension innée de l’histoire donne Après Yang une dimension supplémentaire, avec son effondrement à travers des flashes d’innocence et de mémoire. Et c’est magistral.

En fait, tout est tout simplement magnifique. Comme si le mot n’avait jamais eu plus de sens. Il y a aussi une superbe interjection par Ryuichi Sakamoto , qui se sent comme il englobe toute la beauté et la tristesse dans le monde. En fin de compte, le score de Matsumiya se termine de la même manière qu’il commence, avec cette belle fragilité. Et rien ne pourrait être mieux.

John Williams Il a peut-être ralenti, mais il composait encore, et bien sûr, il serait là pour Steven Spielberg ♪ Les Fabelmans , un film sur la vie familiale du réalisateur . Et c’est charmant – prêt, appréhendé, célébrant. Le film n’est pas seulement à propos de ses débuts avec le cinéma, mais aussi la désintégration du mariage de ses parents, et cela lui-même ne fournit pas l’obscurité mais un ton mature que vous ne trouvez habituellement pas dans beaucoup de ses scores pour les films de franchise.

Ce n’est pas dire qu’il n’y a pas de merveille et de beauté. Quelques instants étonnants sur le piano sont à mourir, et certainement rappelez-vous de nombreux scores de Williams pour les précédents films de Spielberg. Il y a aussi un sentiment de réconciliation et de finalité, mais seulement pour une situation. En effet, une morue est là pour pointer la voie, et elle le fait majestiquement.

Howard Shore ‘s musique pour les films David Cronenberg est toujours inconfortable d’écouter, Crimes of the Future ne fait pas exception. Il y a un ton immédiat de redoute inhérent au début, et Shore se sent comme s’il s’enfonce à travers vous, mettant en évidence son manifeste. C’est peut-être pourquoi c’est si désagréable, parce qu’il se sent envahissant, et aussi parce que nous le voulons. La dichotomie pousse et tire.

La grande chose à propos de Shore est que ses scores sont toujours magnifiques, même quand ils sont laids. Il y a toujours le sens de l’art vrai et un commandement magistral de la composition, et il est évident à chaque seconde de la composition Crimes de l’avenir. Il se sent perverti et grossier et magnifique et nous met dans un état de rêve – donnez-nous plus!

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Douce. C’est ainsi que je résumerais cette liste cette année. C’est l’une des meilleures années pour la musique cinématographique dans une longue période, avec de nombreuses chansons des anciens et des nouveaux gardes. Il y a une variété de genres, aussi, l’horreur habituelle et la sci-fi, mais aussi plusieurs pièces dramatiques, comédie, mystère, et même un super-héros.

Mais au-delà, la qualité de la musique correspond presque à la quantité. Mais assez de cirage, voici…

Ils disent que vous ne pariez pas contre James Cameron , mais même il aurait été inquiet après avoir perdu collaborateur James Horner , qui est malheureusement décédé en 2015. Horner a apporté un sens supplémentaire de merveille et de magie à la première image, mais c’est une bonne nouvelle que son successeur pourrait aussi faire cela. Simon Franglen travaillé avec Horner pendant des années, en collaboration avec le compositeur sur le premier Avatar et production Titanic megahit “Mon coeur va continuer”, et son score majestueux pour Le chemin de l ’ eau Peut-être même pas La musique de Horner pour le monde de Pandora.

Titanic est un mot pour décrire le score, mais il se déplace sans effort de cette échelle épique à minuscule et intime, tout le temps tout en sonnant absolument magnifique. Franglen s’appuie sur les thèmes originaux de Horner, mais présente également ses propres beaux et envoûtants motifs qui incarnent son propre travail. Un succès contre les chances qui nous donne l’esprit de Horner et Franglen à leur plus pur.

Brian et Charles est une de ces merveilles qui ne semblent venir que de la Grande-Bretagne. Situé dans les pays de Galles les plus profonds, c’est une tragédie à propos d’un gars solitaire nommé Brian qui s’apprête à construire un robot appelé Charles Petrescu. Circuit court ce n’est pas, et c’est une histoire bizarre avec un score encore plus bizarre par le toujours présent et inventif Daniel Pemberton ( The Man From U.N.C.L.E., Steve Jobs ).

La musique de Pemberton est à jamais charmante, avec un son électronique de lancement qui est toujours approprié pour l’ami de Brian DIY. Un sentiment de rêve est fait dans le score qui lui donne un air d’innocence, et tandis que Pemberton pourrait facilement jouer pour rire, il traite la relation de Brian et Charles avec respect. Une merveilleuse respiration d’air frais.

The Woman King est un cercle complet pour Terence Blanchard , ayant marqué le réalisateur Gina Prince-Bythewood Début Love & Basketball en 2000. Elle a eu de la chance de l’avoir sur elle conte épique de femmes guerriers dans la vieille Afrique de l’Ouest, comme il apporte un beau bord spirituel au film, en particulier avec l’utilisation élargie du refrain. Blanchard apporte également les mélodies émouvantes que nous sommes habitués de ses scores pour les réalisateurs comme Spike Lee , et c’est un sentiment si merveilleux et effusif.

Blanchard a utilisé le traditionnel avec Royal Scottish National Orchestra et intégré avec un ensemble vocal Vox Noire , y compris l’artiste ghanéen-américain Tesia Kwarteng , et avec le chanteur de jazz Dianne Reeves en tant que soliste. La puissance de Blanchard réunissant ces voix et ces talents est immédiatement apparente dans le score, qui est à la fois robuste et tendre, et c’est une belle chose à vivre. Kingly.

À dire Adaptation de Andrew Dominik of Joyce Carol Oates roman Blonde est controversé est de le mettre doucement, vraiment. Cela dit, une chose que Dominik a bien fait était d’amener Nick Cave et Warren Ellis , qui avait marqué son film de 2007 L’Assassinat de Jesse James par le Coward Robert Ford . Le score de Cave et Ellis est magnifique et dissonant, avec un paysage sonore déformé mais séduisant plein de textures ambiantes. Dans certains endroits, on dirait Vangelis ’ Blade Runner ; dans d’autres, la fin Angelo Badalamenti ’s work for David Lynch .

Il y a sans aucun doute une poignante à cela, en partie de l’expérience de Cave avec la tragédie. Un des titres est un instrument de la chanson ‘Bright Horses’ de l’album de Cave Ghosteen , qui a été écrit après le décès de son fils Arthur, et c’est un défi, mais belle écoute. Cave et Ellis ont créé un score d’inspiration, qui peut même être mieux détaché du film. C’est un voyage, c’est sûr.

Rian Johnson les films précédents, comme Looper , compositeur établi Nathan Johnson (oui, lié, ils sont cousins) comme un talent à regarder, mais le Knives Out Les films ont vu son meilleur travail extrapolé de lui. Ce qui est immédiatement apparent de la première écoute de la Onction de verre Le thème principal est juste comme clinquant il est et comment snakily il serpente autour, parfait pour les allers cachés sur toute la photo. Mais Johnson permet également à un orchestre complet d’emballer des procédures, donnant un grand avantage aux choses.

Son thème Janelle Monae ‘s Andi représente parfaitement la dualité dans son rôle, à la fois le mystère inhérent à sa personnalité et à ses actions et l’hésitance, le sens que sous l’extérieur classe, il y a autre chose qui se passe. Cette écriture enveloppe magnifiquement la partition, ses personnages et leurs diverses transgressions. Johnson équilibre la ligne exacte entre la gravité et l’auto-parodie que son cousin fait avec la direction du film, en tirant tout avec l’aplomb. Même Benoit Blanc ne trouvera pas de faute avec cette performance.

Une des nombreuses grandes choses Jordan Peele a fait avec ses images d’horreur introduit le monde à Michael Abels , qui a fait un travail fantastique avec son dernier film, Non. . Avec son méta-histoire sur Hollywood, le spectacle et les occidentaux, Abels a créé une tapisserie de cônes qui habitent parfaitement ces espaces. Il a fait attention, et son score semble se tenir sur les épaules des géants avant de nous montrer que c’est sa propre chose.

Non. est à la fois exaltant et effrayant, avec un sens sous-jacent de la peur qui rivalise avec les scores John Carpenter . C’est aussi génial quand il est en pleine parodie, avec Abels écrivant de la musique occidentale qu’il aurait pu venir de la batte de deux des grands du genre: Elmer Bernstein et Ennio Morricone . Mais le toucher d’Abels est ce qui se démarque, surtout dans sa musique d’action passionnante.

Clint Mansell toppé la liste de l’année dernière avec un score effrayant, et il est de retour cette année avec un autre effort formidable pour Charlotte Colbert “l’horreur psychologique d’une vieille sorcière” terre brûlante. Le film profite immédiatement de l’aptitude de Mansell à créer un paysage sonore rêvé, et cet endroit hallucinatoire est la maison pour le score. Mansell utilise adéquatement les voix des femmes tout au long, en particulier dans un sens hantantant de ce qui était il y a longtemps, et c’est brillantement efficace.

Un motif vocal spécifique passe par la partition, et c’est à la fois beau et élégant. Il aide également le co-ciné de partitions et se traduit par des pièces spectaculaires qui aident également à effrayer l’enfer de vous. Vous danserez aussi comme un sabbat de sorcières.

Top Gun: Maverick peut-être la plus haute image de l’avion de l’année, mais quand il s’agit d’un dogfight musical, le nom en haut du classement est Chanda Dancy pour son score Dévotion . Ce n’est rien de fantaisiste, juste un score énergique et dynamique qui convient parfaitement J.D. Dillard Dans les années 1950. Au centre est la relation entre les pilotes Jesse Brown ( Jonathan Majors et Tom Hudner Glen Powell ). Dancy souligne cela avec une douceur qui sous-tend un sentiment d’honneur et, bien, de dévotion, et c’est charmant.

Dancy apporte également un sentiment fantastique d’excitation aux scènes d’avions de Corsair volants tout en soulignant le danger inhérent. Mais ce qui brille est l’écriture de caractère et l’effet émotionnel qu’elle apporte. Et c’est la juxtaposition de cela avec les cônes d’action fantastiques qui font Dévotion un vrai gagnant.

Un commentaire courant sur les films du MCU est que la musique est relativement anonyme à travers le tableau, mais vous ne pouvez pas dire cela à propos du Black Panther Des films. Ludwig Göransson gagné une Académie Prix pour son score pour la première installation, et son travail sur Wakanda Forever est même plus ardent et extraordinairement passionné. Bien sûr, à l’interne et à l’extérieur, le film traite des décès Chadwick Boseman et T’Challa, que Göransson intègre avec une compétence exceptionnelle.

Il n’est pas seul, et encore Göransson apporte de nombreux collaborateurs, dont l’artiste sénégalais Baaba Maal et compositeur mexicain Vivir Quintana . Ces collaborations aboutissent à une tapisserie de musique pour se tisser dans le score pour représenter à la fois Wakanda et le royaume de Namor de Talokun et les différences représentées dans chaque contexte culturel. Le score de Göransson est un énorme succès et un exemple brillant de la manière dont il peut être bon quand Marvel l’a bien.

Cliff Martinez et Steven Soderbergh ont travaillé ensemble depuis les débuts du réalisateur avec 1989 Sexe, mensonges et vidéo . Pourtant, vous seriez dur de trouver un score aussi bon tout au long de leur collaboration que Kimi . Le thriller de Soderbergh est Hitchcock à travers une lentille numérique du 21e siècle ; Martinez agit ainsi, avec un petit orchestre qui se révolte obsédéement autour d’un motif mélancolique avec le même sentiment de non-résolution que Bernard Herrmann ♪ Vertige . Le compositeur a parlé de son amour pour Herrmann, donc ce n’est pas une surprise.

Tout cela se traduit par un score superbement tendu et hypnotique. Il est si beau et triste et a un sentiment merveilleux de couleur et d’émotion avec la façon dont il se morphse des instruments traditionnels aux lignes de synthétiseur. Super.

Il y a eu une tonne de récompenses autour Hildur Guðnadóttir ‘s score pour Sarah Polley ‘s drame sur la foi, et ce n’est pas une surprise; c’est brillant. Guðnadóttir est célèbre pour écrire des scores ésotériques, et Women Talking est une prise passionnante sur une pièce dramatique traditionnelle. Il est beaucoup plus accessible que Chernobyl , mais il y a encore un sentiment de bizarrerie, comme le tribalisme rythmique de la percussion.

Cependant, Guðnadóttir est heureux d’infléchir la partition avec des mélodies magnifiques et délicates qui restreignent néanmoins et compréhensiblement le récit musical à un petit cercle intime. Lorsque ce cercle est en danger d’être brisé, elle utilise un ostinato à tranchant qui sonne comme un requin de chasse, une menace résolue avec la musique formant le cercle, cette fois de protection. C’est un score hantantantant et un court à cela, mais en aucun cas moins puissant pour cela.

Il est difficile d’imaginer un meilleur score pour Chinonye Chukwu Le film Till , about la croisade de Mamie Till après le meurtre tragique de son fils, Emmett , Abel Korzeniowski C’est un superbe travail. C’est un score d’espoir et de détermination, et Korzeniowski lui donne un sens essentiel du lyrisme, en mettant l’accent sur sa propre force émotionnelle. Il serait trop facile de transformer cela en un score effacé avec des éléments d’horreur.

C’est un score étonnamment varié; il y a de beaux scherzos mais aussi des moments de grand lamentation – il y a un morceau qui est magnifique à la fois dans sa magnificence et sa tristesse. Mais ça garde toujours espoir. Le résultat est un travail tout simplement incroyable.

Il y a une belle fragilité Aska Matsumiya ‘s score pour Kogonada ♪ science fiction drame . C’est presque comme une représentation numérique du web d’une araignée; les lignes électroniques mélodiques minces se sentent comme elles pourraient se briser à n’importe quelle seconde, mais sont les plus solides de matériaux, qui sont là pour garder la famille ensemble. Cette compréhension innée de l’histoire donne Après Yang une dimension supplémentaire, avec son effondrement à travers des flashes d’innocence et de mémoire. Et c’est magistral.

En fait, tout est tout simplement magnifique. Comme si le mot n’avait jamais eu plus de sens. Il y a aussi une superbe interjection par Ryuichi Sakamoto , qui se sent comme il englobe toute la beauté et la tristesse dans le monde. En fin de compte, le score de Matsumiya se termine de la même manière qu’il commence, avec cette belle fragilité. Et rien ne pourrait être mieux.

John Williams Il a peut-être ralenti, mais il composait encore, et bien sûr, il serait là pour Steven Spielberg ♪ Les Fabelmans , un film sur la vie familiale du réalisateur . Et c’est charmant – prêt, appréhendé, célébrant. Le film n’est pas seulement à propos de ses débuts avec le cinéma, mais aussi la désintégration du mariage de ses parents, et cela lui-même ne fournit pas l’obscurité mais un ton mature que vous ne trouvez habituellement pas dans beaucoup de ses scores pour les films de franchise.

Ce n’est pas dire qu’il n’y a pas de merveille et de beauté. Quelques instants étonnants sur le piano sont à mourir, et certainement rappelez-vous de nombreux scores de Williams pour les précédents films de Spielberg. Il y a aussi un sentiment de réconciliation et de finalité, mais seulement pour une situation. En effet, une morue est là pour pointer la voie, et elle le fait majestiquement.

Howard Shore ‘s musique pour les films David Cronenberg est toujours inconfortable d’écouter, Crimes of the Future ne fait pas exception. Il y a un ton immédiat de redoute inhérent au début, et Shore se sent comme s’il s’enfonce à travers vous, mettant en évidence son manifeste. C’est peut-être pourquoi c’est si désagréable, parce qu’il se sent envahissant, et aussi parce que nous le voulons. La dichotomie pousse et tire.

La grande chose à propos de Shore est que ses scores sont toujours magnifiques, même quand ils sont laids. Il y a toujours le sens de l’art vrai et un commandement magistral de la composition, et il est évident à chaque seconde de la composition Crimes de l’avenir. Il se sent perverti et grossier et magnifique et nous met dans un état de rêve – donnez-nous plus!

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Cet article fait partie de notre 2022 Rewind . Suivez en explorant les meilleurs et les plus intéressants films, spectacles, performances et plus de cette année très étrange. Dans cette rubrique, nous explorons les choix du critique pour les meilleurs films de 2022 comme choisi par notre critique en chef, Rob Hunter.

Nous traitons encore aux réalités et aux répercussions d’une pandémie mondiale, mais de nombreuses façons, 2022 est l’année où la plupart des parties de la vie sont retournées à la normale. Cela comprend des films — à la fois la production et la diffusion — comme des théâtres remplis une fois de plus et chaque semaine a vu l’arrivée de nouveaux films à écrans grands et petits. Encore mieux ? Beaucoup d’entre eux sont super !

Il y avait, bien sûr, des centaines de films sortis en 2022 seulement aux États-Unis, et pendant que j’ai essayé de mon mieux, je n’en ai absolument pas vu tous. Cela dit, j’ai regardé plus de 150 nouvelles versions, ce qui n’est pas de petites pommes de terre. Ainsi, avec cette caverne, et la compréhension que les listes de films sont subjectives, les quinze titres ci-dessous représentent mes choix pour les meilleurs films de 2022. L’ordre et le contenu changeront définitivement dans les semaines, les mois et les années à venir, mais pour le moment, c’est tout.

Un tiers de mes choix ont été produits à l’étranger, tandis que la plupart sont nés de Hollywood. Certains films sont des blockbusters, tandis que d’autres se sont retrouvés au box office. Genres courent la foule des drames et de l’action à l’horreur, la comédie, et au-delà. Le facteur commun parmi eux, cependant, est qu’ils sont tous inoubliables, fantastiques, et très regardables (et révisibles).

Continuez à lire pour les meilleurs films de 2022 !

15. Top Gun: Maverick